TOP 10 des choses à savoir avant de partir à Bali

Bienvenue dans notre guide ultime du voyage à Bali !

Si vous envisagez de partir à Bali, préparez-vous à être transporté dans un monde de beauté naturelle, de culture vibrante et d’aventures inoubliables.

Avant de plonger tête baissée dans cette expérience balinaise, laissez-nous vous présenter le TOP 10 des choses essentielles à savoir avant de partir à Bali.

Que vous soyez un voyageur chevronné ou que ce soit votre première aventure à l’étranger, ces conseils pratiques vous aideront à tirer le meilleur parti de votre séjour et à vous immerger pleinement dans la magie de Bali.

partir à Bali

L’art de la négociation est un plus


La pratique de la négociation est profondément ancrée dans la culture balinaise. Bien que chez nous, nous ne soyons pas habitués à négocier chaque achat, il est essentiel de s’adapter à cette norme à Bali. Que ce soit avec les commerçants des marchés locaux, les guides, les warungs (petits commerces en bordure de rue) ou les vendeurs dans la rue (comme on peut le voir à Paris avec les porte-clés Tour Eiffel), la tendance est de faire varier les prix en fonction du client. Il est important de reconnaître que même si nous avons économisé longtemps pour ce voyage, nous demeurons des privilégiés et bien plus riches que les Balinais.

La négociation est donc une pratique courante, mais il est crucial de maintenir une approche raisonnable afin de parvenir à un accord avantageux pour toutes les parties, tant pour l’acheteur que pour le vendeur. Faire baisser le prix de quelques euros pour l’acheteur peut représenter souvent un repas, voire plus, du côté du vendeur.

Pour obtenir les meilleurs prix, voici quelques conseils :

  • Éviter d’acheter dans les endroits les plus touristiques. Bien que cela puisse sembler évident, il est inévitable de se faire avoir une fois au cours du voyage 😂. Les prix seront considérablement plus élevés, même après négociation.‍
  • Ne pas montrer trop d’intérêt pour un produit, sinon le vendeur pourrait insister et augmenter son prix.‍
  • Jouer sur la concurrence en demandant les prix à plusieurs vendeurs environnants, favorisant ainsi une négociation équitable pour parvenir à une baisse de prix.
  • Adopter une attitude amicale et souriante pendant la négociation, éviter de paraître condescendant envers le vendeur, et utiliser le langage non verbal pour indiquer que le prix proposé est trop élevé ou que l’acheteur n’est pas intéressé (haussement d’épaules, expression étonnée, geste de refus de la main, etc.).

L’eau potable ne coule pas du robinet


À la différence de la France (et de la plupart des endroits en Europe), l’eau potable n’est pas disponible directement du robinet à Bali. Elle n’est pas non plus accessible dans les fontaines des villes ou des parcs. On pourrait la considérer comme une ressource “rare” qu’il est préférable d’acheter en magasin pour éviter des problèmes tels que la tourista. Même les Balinais, par précaution, n’utilisent pas l’eau du robinet. Cela donne une idée de la qualité de l’eau du robinet. Heureusement, de l’eau potable est disponible dans tous les magasins, supermarchés, épiceries, hôtels et restaurants de l’île. Selon le format de la bouteille, le coût varie entre 8 000 IDR (Roupie indonésienne) et 24 000 IDR, soit entre 0,50 € et 1,50 €.

Quelques précautions sont cependant nécessaires :

  • Consommer uniquement de l’eau en bouteille scellée. Éviter absolument de boire de l’eau provenant d’une bouteille déjà ouverte, car on ne sait pas depuis quand elle est ouverte et si l’eau à l’intérieur est toujours potable.
  • Ne pas demander ni accepter de glaçons dans les boissons, car ils sont souvent fabriqués avec de l’eau du robinet non bouillie et pourraient être contaminés. Si des glaçons sont présents dans votre verre, il est recommandé de les retirer rapidement.
  • Éviter les salades vertes dans les restaurants, car elles sont souvent lavées à l’eau du robinet.
  • Pour se rafraîchir, privilégier les fruits et légumes que l’on peut éplucher. Ainsi, même s’ils ont été en contact avec de l’eau du robinet, une fois pelés, ils ne présentent aucun risque.

 Absolument tout est payant


Certes, c’est le principal inconvénient de cette île paradisiaque. Le coût de la vie y est remarquablement bas, mais d’un autre côté, que ce soit pour les forêts, les plages, les chutes d’eau, les réserves naturelles, les temples, les photos, tout, absolument tout, est soumis à des frais. Cette réalité peut être déconcertante, car même pour visiter des lieux en pleine nature, il faut s’acquitter d’un tarif. Cela va à l’encontre de notre conception culturelle habituelle. Bien que nous ayons été initialement surpris et réticents, l’ubiquité de cette pratique sur l’île nous a contraints à nous y conformer. Il s’agit probablement d’une conséquence du coût de la vie particulièrement bas, incitant les Balinais à rechercher des sources de revenus supplémentaires.

Les tarifs oscillent généralement entre 10 000 IDR, 25 000 IDR et 30 000 IDR, soit moins de 2€ par personne. Cependant, cumulés sur l’ensemble des visites effectuées pendant le séjour, ces coûts peuvent rapidement s’accumuler. À noter également que la gestion du Mont Batur est entre les mains de la mafia balinaise, exigeant le paiement d’un droit de passage en plus des frais pour un guide local et un taxi pour gravir le mont. Bien que cela entraîne des dépenses considérables, elles sont souvent incontournables et difficilement négociables, à moins d’être un habitant local.

En ce qui concerne les sites destinés aux touristes, comme ces endroits attrayants avec des balançoires au-dessus des rizières, ils sont souvent gérés par des Balinais cherchant à tirer profit de la situation. Les tarifs appliqués ne se limitent pas à 2€, mais peuvent atteindre jusqu’à 20€, voire 50€ par personne. Une véritable tactique pour attirer les touristes, même si cela permet de capturer des clichés mémorables pour alimenter son compte Instagram. Il est donc essentiel de bien choisir ses priorités.

Les routes sont une véritable jungle

Bien que ce ne soit pas une jungle au sens propre du terme, la circulation à Bali peut être qualifiée de véritable chaos. C’est vraiment la loi du plus fort qui prévaut au volant, donnant l’impression qu’il n’y a pas de code de la route. Pourtant, surprenant mais rassurant, nous n’avons observé aucun accident en 20 jours sur l’île. Donc, si vous optez pour un taxi, pas d’inquiétudes à avoir, les Balinais sont habitués à cette conduite. Cependant, si vous décidez de conduire à Bali, que ce soit en voiture ou en scooter, soyez extrêmement prudent. Assurez-vous de demander un casque lorsque vous louez votre scooter, prenez le temps de bien maîtriser votre véhicule avant de vous lancer, et une fois à l’aise, affirmez-vous sur la route, surtout aux intersections, sinon vous risquez de vous faire dépasser par tout le monde. La vigilance est la clé. 

 Le coût de la vie est extrêmement bas

Bali demeure une destination touristique prisée des occidentaux, en grande partie en raison de son coût de la vie très abordable, inférieur à celui des îles environnantes. Cela te permet de :

  • Manger pour moins de 2€.
  • Te régaler dans un bon restaurant pour 10€.
  • Déguster une pinte de bière pour 1,70€.
  • Faire le plein d’essence pour 0,70€/L.
  • Prendre un taxi pour 0,50€/km.

L’anti-moustique sera votre meilleur allier

Bali, en raison de son climat chaud et humide, est l’endroit idéal pour les moustiques, qui prospèrent dans ces conditions. Il est essentiel de ne pas oublier d’emporter un répulsif anti-moustique puissant ou d’en acheter un sur place.

Bali est la seule île indonésienne hindouiste

Le reste des îles indonésiennes est principalement de confession musulmane, atteignant 85%, bien que l’État indonésien reconnaisse officiellement cinq religions : l’islam, le protestantisme, le catholicisme, l’hindouisme et le bouddhisme. À Bali, l’hindouisme prédomine. Les cérémonies, les rites et les festivités sont donc très présents sur l’île, rythmant souvent les journées, offrant ainsi une expérience culturelle enrichissante.

Partout à Bali (littéralement partout, chez les habitants, dans les rues, chez les commerçants, dans les temples, etc.), des offrandes sont visibles. Les Balinais effectuent ces offrandes en l’honneur des dieux.

Il est important de noter que dans l’hindouisme balinais, on parle d’offrandes “aux Dieux” et non “à Dieu”. Cette distinction provient du fait que l’hindouisme balinais vénère plus de 1 000 dieux et démons. Les Balinais adulent à la fois les dieux et les démons pour maintenir un équilibre, évitant ainsi que l’un ne soit jaloux de l’autre, et finalement, pour prévenir tout malheur.

Cette forte présence culturelle et religieuse se manifeste à travers l’île, avec des temples omniprésents et des sculptures magnifiques représentant les dieux et démons hindouistes. Cette richesse culturelle offre une expérience visuelle unique, différente de ce que l’on peut observer dans d’autres régions.

partir à Bali

Attention aux scooters

Lorsque vous optez pour la location d’un scooter à Bali, soyez vigilant pour éviter ce que les habitants appellent le “Bali Kiss”. Ce terme humoristique dissimule une réalité potentiellement douloureuse. Il désigne le risque de se brûler sur le pot d’échappement du scooter. Bien que le nom puisse prêter à sourire, la prudence est de mise, car une telle brûlure peut causer des désagréments.

Lors de vos déplacements en scooter, gardez à l’esprit que le pot d’échappement peut devenir très chaud, notamment après une utilisation prolongée. Évitez de vous approcher de cette partie de la moto, surtout si vous portez des vêtements légers. Prenez le temps de vous habituer à la température de fonctionnement de l’échappement avant de vous aventurer à proximité.

Cette précaution simple mais essentielle vous permettra d’éviter les désagréments d’un contact involontaire avec le pot d’échappement, garantissant ainsi une expérience de conduite agréable et sans soucis à travers les magnifiques paysages de Bali.

L’île des Dieux n’est pas propre

Bien que les réseaux sociaux regorgent de photos idylliques et paradisiaques de Bali, la réalité qui se dévoile dans les rues révèle une facette moins reluisante de l’île. Les déchets abondent, posant un sérieux défi environnemental. Les Balinais se retrouvent démunis face à cette situation, souvent brûlant les déchets au bord des routes, entraînant une détérioration notable de la qualité de l’air.

Cette accumulation de déchets découle non seulement du tourisme de masse mais également de l’absence de systèmes adéquats de gestion des déchets locaux. L’éducation de la population à cet égard est déficiente, et les infrastructures nécessaires pour trier et traiter les déchets font cruellement défaut. Les débris plastiques provenant de la mer viennent également s’ajouter à ce problème, s’échouant sur les plages balinaises.

Outre les déchets, la pollution générée par les véhicules et les embouteillages contribue à cette réalité désolante, altérant non seulement le paysage de l’île mais également son écosystème. Cette triste réalité souligne l’urgence d’initiatives et de mesures visant à préserver la beauté naturelle de Bali et à promouvoir des pratiques respectueuses de l’environnement.

Non les singes ne sont pas gentils

À Bali, la présence de singes est une expérience courante, que ce soit à la Monkey Forest ou dans certains temples de l’île. Au début, l’excitation de les observer de près peut être palpable, mais il est crucial de rester conscient des comportements de ces animaux. Les singes, bien qu’apparemment amicaux, peuvent se révéler moins dociles que prévu.

Il est fortement déconseillé de leur donner à manger, et il est particulièrement important de ne pas soutenir leur regard, car cela peut être interprété comme un défi, pouvant déclencher des réactions agressives et violentes. Évitez autant que possible le contact direct avec les singes pour éviter les morsures ou les griffures, car ces animaux ne sont pas vaccinés contre les maladies et notamment la rage.

Il est crucial de rester vigilant, car les singes peuvent également être opportunistes et dérober des objets dans les poubelles, les sacs, voire même des lunettes, des porte-monnaie, ou de la nourriture. Il est donc recommandé de faire preuve d’une grande prudence et de ne pas laisser d’objets de valeur à la portée des singes pour assurer la sécurité de chacun lors de l’interaction avec ces créatures fascinantes mais potentiellement imprévisibles.

partir à Bali

Besoin d’un coup de pouce pour planifier votre séjour à Bali ?

Chez Imprudence des Voyages, nous planifions votre voyage sur mesure en quelques jours !

Avec nous, c’est :

  • Expertise locale : Bénéficiez de notre connaissance approfondie de Bali, des endroits emblématiques aux recoins moins explorés.
  • Personnalisation : Chaque voyage est unique. Nous travaillons en étroite collaboration avec vous pour concevoir un itinéraire qui correspond à vos préférences, passions et attentes.
  • Logistique simplifiée : De la réservation d’hébergements à la planification des activités, nous nous occupons de tous les détails pour que vous puissiez vous concentrer pleinement sur la découverte de l’île.

Comment commencer votre aventure avec nous ?

  1. Contactez-nous : contactez-nous directement pour discuter de vos idées, besoins et aspirations de voyage.
  2. Consultation personnalisée : Profitez d’une consultation personnalisée où nous prendrons le temps de comprendre vos attentes et de vous présenter des itinéraires adaptés.
  3. Création de l’itinéraire : Nous élaborerons un itinéraire sur mesure, tenant compte de vos préférences et de notre expertise locale, pour vous assurer une expérience inoubliable.
  4. Voyage sans soucis : Une fois votre itinéraire finalisé, détendez-vous et profitez de votre aventure à La Réunion en toute sérénité.

Choisir nos services de travel planner, c’est opter pour une exploration sans tracas, une immersion authentique et la certitude de vivre des moments exceptionnels.

voyage bali
On voyage ?

A lire également